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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 16:50

Dédicaces  :

 


 17 nov  de 17 à 20 h : Jacqueline Persini-Panorias pour TARD JE T'AI RECONNUE

 


18 nov de 16 à 18 h : Danièle Corre pour ses précédents recueils et pour ROUTES QUE RIEN N'EFFACE et Où parle doucement l'âme des morts (en présence de l'illustrateur)


18 nov de 16 à 18 h  : Bernard Fournier pour MARCHES III


17 et 18 nov de 15 à 18 h : Brigitte Cottaz pour son premier recueil FUGUES


 

Nous recevrons les visites de Patricia Castex-Menier et Pierre Drogi (horaires indéterminés)

 

 

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 15:53
l’autre livre
La liberté d’éditer
www.lautrelivre.net
10e salon international
des éditeurs indépendants
du vendredi 16 au dimanche 18 novembre 2012
vendredi 14H00-22h00 - samedi 11H00-20H00 - dimanche 11h00-19h00
Espace d’animation des blancs-manteaux
48, rue vieille-du-temple 75004 paris
métro hôtel-de-ville
entrée gratuite
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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 21:57

 

                      le thème de cette rentrée est RENAISSANCE

                                                                                                                                              devant le Lavoir - théâtre d'Epinal

Rendez vous le mardi 9 octobre                                                                                                                                 à 18 h 30

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30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 21:55

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Notre ami Alain Mabanckou, en grande conversation avec Danièle, présentait cette année un "policier"* ,  et un livre pour enfants "Ma soeur Etoile ", adaptation de son livre "Damin j'aurai 20 ans"

 

 

TAIS-TOI ET MEURS, Éditions La Branche. Parution septembre 2012

Quittant le Congo, Julien Makambo arrive en France sous le nom de José Montfort. Il est accueilli à Paris par Pedro, figure de proue du milieu congolais de la capitale. Sapeur à la pointe des tendances et «homme d'affaires» au bras long, Pedro prend Julien sous son aile et l'initie au monde des combines souterraines. Les affaires tournent, Julien a la vie belle et festive... jusqu'à ce vendredi 13 maudit, où il se retrouve malgré lui mêlé à la défenestration d'une jeune femme. En prison, il écrit son histoire, celle d'un jeune homme confronté à son destin : Makambo en lingala signifie «les ennuis».
Et face aux ennuis, une règle d'or règne ici en maître: Tais-toi et meurs.

 

extrait du site de l'auteur www.alainmabanckou.net

 

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*

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30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 21:44

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Françoise et André Rossinot, maire de Nancy, accompagnés d'Amélie Nothomb, sont venus nous rendre visite

 

 

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Ci dessous, au centre de la photo, mme Françoise Rossinot, Commissaire général du « Livre sur la Place »  nous fait partager sa passion de la littérature.

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 22:59

vendredi - suite

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A la verticale du micro, André Rossinot, maire de Nancy ; devant lui, Amélie Nothomb

 

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 22:43

vendredi

nous avons eu la visite des personnalités et responsables de ce salon du livre
cidessous, Jean Bernard Doumène au centre 

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    ci dessous :
Au centre Dominique Pottier et tout à fait à droite, Aurélie Filippetti
 

 

la tournée des personnalités ; ci-dessous, Jean Bernard (estimé libraire de l'Autre Rive), à sa droite Françoise Rossinot
au fond au centre, Dominique Potier, député du Toulois avec à droite Amélie Nothomb (coiffée d'un chapeau)
 
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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 22:35

 

jeudi DSCN5313

 

 

 

 

 La grande nef est vide

Arrivée depuis la Belgique, la conservatrice et éditrice de la fondation  Maurice Carème, toujours là

 

 

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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 10:11

 

Danièle CORRE : Routes que rien n'efface
  Editions Aspect
La parole n'est plus close pour Danièle Corre. Elle nous livre son poème avec une rare maîtrise et va au plus juste de son écriture. Elle tend à retrouver, toujours, sa mémoire d'enfance et lutte contre «  les heures pressantes, halètements de course... ». Danièle Corre n'est pas pressée. Elle regarde avec « l'obstination de l'enfance » chaque instant de vie, écoute avec l'attention originelle le vol de l'oiseau et reçoit avec ferveur « le paysage comme un cadeau ».
La voilà rendue sur «  ces routes que rien n'efface », sur ces chemins empruntés çà et là au cours d'une destinée comportant des aventures heureuses et moins heureuses et qui ont forgé une existence et une œuvre poétique entremêlées de sentiments, de battements, de révoltes, de répits.
«  Ivre de vie, tu vas », écrit-elle et avec elle nous avançons sur ces routes «  dans l'oubli provisoire des longues / et profondes griffures / des herses sur ta peau », avec elle nous préférons la lumière, le ciel, la mer, le vent, les prés, ce monde si encombré d'éléments divers, positifs et négatifs mais qui, par chance, se crée et se recrée dans le beau poème de Danièle Corre.
Monique W. LABIDOIRE ( à paraître dans le N° 80 de Poésie sur Seine )
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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 10:07

 

Danièle CORRE
ROUTES QUE RIEN N'EFFACE
Editions Aspect, 2012, 100 pages, 16 Euros.
On respire, bien au-delà des poumons, dans ce livre qui nous RECUEILLE ( la langue française a de ces rapprochements...) au creux de ses mots et de ses silences. On ferme les yeux : on boit la poésie cristalline de Danièle Corre, qui nous parle de la résonance du monde sur le seuil.
Clarté des sources, fraîcheur des herbes, senteurs du vent...Mais voilà, cette célébration ne supporte ni mièvrerie ni grandiloquence. Alors écoutez :
«  Les monstres de la nuit / tendent leur échine / pour une caresse / qui ne les oublie pas/
dans le travail des mains / à façonner le jour ».
Jouir des matins premiers, de la confiance des corps et des gestes. Apprendre à orchestrer ces mille voyages qui nous ramènent au port et nous font repartir au rythme régulier et frémissant de nos marées intimes.
Ici les phrases sont offrandes telluriques, lèvres ourlées des gâteaux de l'enfance, pieds ancrés dans le terreau des consentements, cœur aux aguets du signe. Danièle Corre évoque ( invoque?) les « femmes des acceptations // qui m'offrent nuits rebelles / et quête avide / du sens » .
Oui, acceptation et quête peuvent chevaucher de conserve, c'est même là sans doute le chemin dont parle tout poète qui se veut tel.
Mais en ce chemin, dit-elle, demeurons perpétuellement guetteurs en vigilance :
«  Un mot peut vous jeter
hors du nid de l'instant ».
Et gardons-nous d'oublier «  ce qui a conduit là/ tout couturé d'écorchures / mains agrippées / à des falaises de silence » ; souvenons-nous que «  sans cesse il faut rebâtir » et qu' « il est des déchirements / qui n'en finissent pas / de creuser des abîmes ». Caressons les mots, mais n'en faisons pas nos maîtres. Ainsi demeurera la soif. Une soif revigorante et non dévorante qui accueille toute source en cadeau et non comme un dû ( « Sais-tu que je suis là / à ne rien attendre »).
Tombée dans le gouffre, Danièle Corre a « apprivoisé la paroi »( selon la belle expression de Guillevic). Roulée par le torrent, elle a tendu les bras au fleuve. Et la voici «  pieds nus / dans la merveille / de vivre ». Il ne nous reste qu'à la suivre sur ce chemin de clarté dont elle sait, mieux que quiconque, que l'ombre est genèse.
Jean-Louis BERNARD
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