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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 10:10

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Bienvenue dans la nouvelle édition de notre newsletter !

K’A nana 15 an an 2014 nou artrouv anou
Bambous Sin Benoi

Le vendredi 24 octobre 18h 30

Sobatkoz

les éditions militantes réunionnaises

Introduction et animation du débat

Carpanin Marimoutou

Intervenants

- Firmin Lacpatia pour les Chemins de la Liberté

- Alain Gili pour l’ADER

- Jean François Reverzy pour Grand Océan

- André Robèr pour Editions K’A

Avec

Lorita ALENDROI, Claire KARM, Monique SÉVERIN, Françoise SYLVOS, Carpanin MARIMOUTOU, LANSOR, Francky LAURET, Stéphane HOARAU, Judith PROFIL, André ROBÉR, Patrice TREUTHARDT, Céline HUET, Daniel HONORÉ, Mikael KOURTO, Alain GILI, Patrick CAZANOVE

Liste évolutive

Alé di partou

Société : DCC Editions K'A
Téléphone : +33468576439
Télécopie : +339 57 17 81 36
Email : contact@editionska.com
SIRET: 45389025300053

Tax ID: [à compléter]
Numéro d'identification TVA :
Numéro d'immatriculation de l'entreprise : [à compléter]
Association Diffusion de la Culture Con

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 09:07

Nous sommes allés à la rencontre de Richard Rognet au Quai des Mots, la librairie d'Epinal.

Le poète y présentait son dernier ouvrage "Dans les méandres des saisons" sous la forme d'une lecture enrichie de commentaires et d'échanges.

Ouvrage en deux parties où l'évocation du décès de la mère du poète tient une large part.

On y parla aussi de métrique, de vers classiques revus et visités, de sonnets et de quatrains, d'alexandrins soupçonnés ou avoués...

Un bel après-midi de lecture dans un cadre littéraire, celui de la librairie sise en face de la gare.

Un bel espace de rencontres à proximité d'un véritable rayon de poésie dans une vraie librairie
Un bel espace de rencontres à proximité d'un véritable rayon de poésie dans une vraie librairie
Un bel espace de rencontres à proximité d'un véritable rayon de poésie dans une vraie librairie

Un bel espace de rencontres à proximité d'un véritable rayon de poésie dans une vraie librairie

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 15:09

Nous serons présents au SALON DE LA REVUE de Paris, aux Blancs Manteaux les 10*, 11 et 12 octobre.

Nous y présenterons en fin les 6 premiers numéros de notre revue (presque) annuelle, CARNAVALESQUES, revue-anthologie de découverte des écritures du français d'aujourd'hui.

A ce jour, plus de 15i poètes du monde entier y ont trouvé leur place.

Conditions particulières sur notre stand pour cette édition 2014 !!

*inauguration à 19 h

Salon de la revue à Paris
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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 15:17

Beau temps, chalands nombreux (petite baisse ?), bonne humeur, contact toujours aussi positifs...et ventes satisfaisantes, le cru 2014 du Livre sur la Place 2014 fut un bon cru.

Comme depuis une dizaine d'années invitées à cette édition 2014 du premier salon(et plus "grand" salon du Livre, tant pas le nombre d'entrées par unité de temps et d'espace) du Livre par la Ville de NANCYet l'association des Libraires de la ville, les éditions étaient installées dans le grand hall côté Palais du Gouverneur, avec ce qu'il faut d'aération et de portes de sorties.

Malheureusement absent pour des raisons personnelles, - et bien qu'invité par la ville- Robert Nedelec nous a manqué.Son ouvrage "Plein champ" sorti des presses pour le Marché de la Poésie - une première perturbée par la grève des trains - est ainsi resté en ....plein champ, ; certainement sans connaître, sur le salon, le succès qu'il mérite.

Les amis et poètes étaient présents : François Maubré, Jacques Pierre, Philippe Vallet et Véronique Bart. Nous avons aussi accueilli un jeune dessinateur, main gauche et adroite qui a "doublé" le comédien qui jouait Maurice Genevoix dans un film de FR3.

Nous en reparlerons.

L'événement était aussi la sortie de "L'enfant derrière la vitre" de Danièle Marche, court recueil illustré de photos (voir l'article suivant).

Alain Gnemmi et François Maubré

Alain Gnemmi et François Maubré

le stand 10 au matin du vendredi

le stand 10 au matin du vendredi

Comme autant d'insectes noirs et peopelivores, les photographes de presse devant le staf du Salon

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Denis Laferrière, président du Livre sur la Place 2014

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Interview de Denis Laferrière devant le Palais du Gouverneur

Interview de Denis Laferrière devant le Palais du Gouverneur

Le docteur Rossinot, Président du Grand Nancy

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Entre François et Danièle, David, "main gauche" de Maurice Genevoix

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"Qu'est ce que la poésie" toute réponse mérite un bon point...

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Roger Vadier dédicace une nouvelle version de la légende de Saint Nicolas

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Axel Kahn, pas d'accord avec son frère Jean-François, sur la date de la déliquescence du pouvoir central

Axel Kahn, pas d'accord avec son frère Jean-François, sur la date de la déliquescence du pouvoir central

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 13:22

Alchimie.

Ainsi celui qui écrit puise dans les tréfonds de son être, il ne récuse aucune impudeur, il sait toutes ses obscénités, il sait toutes ses absences, il y puise une substance, boueuse, confuse, pétrie de caillots et de débris, la substance de son corps et il en fait la matière de ses mots, substance macérée qui se mue, lors du rituel de la poésie, en matière, la matière des mots, mots tissés dans la page, mots qui sont le prolongement d’un corps, non dans ce qu’il a de superficiel ou d’anodin mais prolongement de ses abîmes, corps sans censure devenu substance, devenu matière, devenu mots, mots inscrits dans les pages d’un livre, livre en quête d’un regard, d’un autre, un regard qui parfois survient, un regard qui se reconnaît dans le livre, livre-miroir, miroir-livre, regard qui s’imprègne de ces mots parce qu’ils lui parlent, parce que ces mots le touchent, ces mots l’émeuvent, ces mots parfois le brisent, mots qui pénètrent dans son corps, mots qui sont la substance de celui qui écrit, qui se dispersent dans son corps, dans le corps de celui qui lit, qui se mêlent à sa mémoire, ses larmes, ses rêves, mots désormais si présents en lui qu’ils lui sont invisibles, les mots de l’autre, de celui qui écrit, mots qui proviennent d’un corps et qui se transvasent dans un autre corps, la substance de l’un qui devient celle de l’autre, écrire est ainsi transmuer son corps en des mots qui deviennent, par la force d’un regard, d’un désir, les mots des autres, c’est un corps à corps par l’entremise de la littérature, alchimie des corps, alchimie des mots, alchimie d’un être, celui qui écrit, de sa substance en beauté, beauté des mots, beauté qui ne cesse de renaître en l’autre, celui qui lit, beauté qui ne cesse de vagabonder dans le corps de l’autre, alchimie de sa substance qui devient la substance de l’autre, alchimie qui réunit le corps de celui qui écrit au corps de celui qui lit.

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 16:27

L'exposition Jacques KOSKOWITZ, les étapes d'une oeuvre, est l'événement de la rentrée 2014-2015 au Musée de Toul.

Mal connu, ce Musée municipal mérite le détour, tant pour la richesse de ses collections que par la volonté pédagogique de ses responsables de présenter un parcours à la fois historique et patrimonial aux visiteurs.

Fondé par le docteur Michel Hachet, le Musée, sous la houlette d'Hélène Schneider, aujourd'hui sa conservatrice, est aussi le lieu d'accueil d'expositions variées et toujours intéressantes. L'équipe du Musée, salariés et bénévoles, oeuvrent avec dynamisme pour continuer un double travail : celui de la conservation et celui de la présentation à tous les publics.

L'exposition de l'essentiel de l'oeuvre de Jacques Koskowitz est présentée en partenariat avec les associations "les Amis de Jacques Koskowitz" et "Jacques Koskowitz".

Elle fera l'objet pendant 3 mois d'une animation principalement tournée vers les scolaires et les groupes intéressés. Un atelier de pratique artistique autour de l'oeuvre sera mis parallèlement en place au Collège de Colombey-les-Belles, dans son espace artistique.

invitation inauguration de l'exposition Jacques Koskowitz

invitation inauguration de l'exposition Jacques Koskowitz

Ancien hôpital, le Musée offre de beaux espaces architecturaux

Ancien hôpital, le Musée offre de beaux espaces architecturaux

Un remarquable Musée de l'Histoire régionale, une volonté pédagogique toujours présente

Un remarquable Musée de l'Histoire régionale, une volonté pédagogique toujours présente

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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 15:27

Note de lecture de François Maubré à propos de

Plein champ (article paru dans DIERESE 63)

A propos de « Plein Champ » de Robert Nedelec

Plonger dans « Plein Champ » et le mystère NEDELEC, c'est tout un rituel de lecture. On se demande quel chemin emprunter pour atteindre une lumière si bien cachée. Les mots s'enchaînent dans leur simplicité prosaïque, comme si tout était simple, comme si la vie était simple, comme si, entre rêve et réalité, toutes les passerelles étaient libres d'accès et assez solides pour cheminer de l'un à l'autre, comme si tous les gués se laissaient franchir sans laissez-passer . Passerelle ou gué.... passages obligés entre rêve et réalité, entre rêve et souvenir, entre réalité et souvenir. On balance à travers ces mots qui, comme le pinceau du peintre, va , vient, balaie la toile, change la couleur ou le trait au gré du mouvement. Car il y a du mouvement sous la plume de Robert Nedelec.

Au creux de la création, reviennent sans cesse l'enfance , ses éclats de lumière et son contraire , la mort habillée de ses cendres. C'est cette marche infatiguée qui secoue les poèmes.

Et si..(Robert .Nedelec nous jette des « si » non avoués, simplement dissimulés ) ce passage de l'enfance à la mort n'était qu'un regard déchiré sur le cheminement de l'homme, sans passerelle, sans gué, un raccourci de l'Humanité avec des mots retenus que dissimule la pudeur?

Il arrive parfois que rêve et réalité sont dans une telle osmose que le poète se fond dans l'un et l'autre en même temps comme si se perdre était échappatoire à une trop grande souffrance ou déchirure béante. Le galop des mots prend souvent une allure proustienne avec (on peut se le demander) le désir de nous tromper et, plus sûrement pour le poète , de se tromper lui-même. On se cherche dans « les eaux troubles » , mais où les trouver? Est-ce un jeu? Cherche-t--il à se perdre?

La remise en cause de soi-même, lorsque pendant plus de quarante années on n'a pas cessé de se questionner, crée peut-être une tentation à rire de ses propres émois (l'épouvantail) pour probablement oublier ses plaies. Seul le poête le sait!

Le titre « Plein Champ » peut faire penser au caméléon....Surprenant, direz-vous? Plein champ de regards comme ce saurien et sa vision à 360° , regards qui vont, tournent, reviennent fuient jusqu'à l'inatteignable, cherchent le profond de l'être et l'infini, allant de la poignée de sable ou la bille d'agate de l'enfant vers l'aimée ou plus gravement vers la mort tragique et vile dans le fossé. Roue de mots,Plein Champ nous livre une liberté de parole à laquelle les Surréalistes ne tordraient pas le cou.

Il est vrai que Robert Nedelec a connu cette écriture automatique . Dans les années 70, il a frôlé Soupault et Bérimont, les derniers de la bande.Il y a puisé le jeu des images et métaphores extrêmement riches qui font son identité.

« Plein Champ » est le tressaillement d'un vrai poète, d'un homme et sa nostalgie, qui suit sans se déjuger le même chemin d'écriture coulé souvent dans le vent d'une Bretagne , jamais citée, mais clouée dans ses poèmes.

« Et voilà aussi l'enfant qui cherchait le houx pour Noël dans quelque proche taillis qui n'existe plus, et ce frisson d'ailes au-dessus du temps. »(La grange)

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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 15:23

Robert Nédélec / 23 mai 1946 / Saint-Pol-de-Léon (Finistère). Existence partagée entre la Bretagne, où il a passé toute son enfance et à laquelle il reste encore très attaché, et la Provence intérieure, où il a choisi de se fixer aujourd’hui. A édité une grosse vingtaine d’ouvrages, épuisés pour la plupart d’entre eux, en particulier aux «Editions de l’Arbre» (Jean le Mauve éd.) ou à «L’Arrière-Pays». A également collaboré, et collabore encore occasionnellement, à de nombreuses revues, en France comme à l’étranger . Prix Louis Guillaume 2007. Grand Prix de Poésie 2014 de la SGDL pour son oeuvre.

Bibliographie : Des racines autour du cœur, Oswald (1971) – Nœud des délivrances, Edmond Thomas (1974) –Corde raide au-dessus des chutes, Millas (1975) – Le bon vivant, Le dé bleu (1976) – Jeu d’ombres, d’algues et de laine, Apostrophe (1977) – Le bon vivant, 2° éd. augmentée, Jean Le Mauve (1978) – Poème du pays qui a feint, Cyclope-DEM (1979) – Lieu d’yeux et de lait, Jean Le Mauve (1980) – Sang n’étant pas divisible par toi, Quintefeuille (1981) – Le pouls des pierres, in Froissart (1983 , Prix des lecteurs) – Faute d’ombre, in Froissart/28 (1984), JC Belleveaux (1997) – Les masques embusqués, Encres Vives (1985) – Fasse l’exil, Texture (1985) – Les choses par leur nom, Le dé bleu/La Bartavelle (1987) – Sache que dans ce corps, Jean Le Mauve (1988) – Le chemin de l’aven, Jean Le Mauve (1990) – La belle affaire, Jean Le Mauve (1994) – D’elle, dit-il, Jacques Josse (1997) – La page double, L’Arrière-Pays (1997) – Contre-jour, L’Arrière-Pays (2007, Prix Louis Guillaume) – Double tour, Rafael de Surtis (2008) – Effets d’annonces suivi de Carré chinois, N&b ( 2009) – Entouré d’eau de tous côtés, Editions de l’Atlantique (2010) Quatre-vingts entames en nu, Jacques Brémond,(2013) - Plein champ (éditions ASPECT 2014)

Découvrir Robert NEDELEC (2)
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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 15:15

extraits de "Plein champ"

Les voilages

L’air et le fruit se sont gâtés dans la maison basse où vous habitez malgré la rumeur, ta semblable et toi, depuis que la bête aveugle, à qui l’on tendait

Indistinctement les mains et le piège, a crevé la croûte de terre durcie qui dissimulait ses ruses béantes et réduit les chairs

En mottes de sang ; et tu imagines, quand l’ange s’enfonce, tête la première, dans ses déjections, et que pendent dans les granges

Des lambeaux de peaux mangées de poussière, que tu aurais pu, au lieu de laisser l’œuvre inaccomplie et de disparaître derrière ta trace,

Arracher la bêche au sol, en laver le fer, et l’appuyer, à d’aimables fins, de meurtre toujours, ou de parodie, au mur de la chambre,

Te promettre de trancher, d’un mouvement sec de l’âme et du corps, cet instable amas de lumière pâle qui témoigne que l’on fore aussi l’espace d’en haut quelquefois,

Que le ciel éboule, comme tulles ou percales, quand le souffle accroche ses capitules aux volets fermés et que le cadavre nouveau, se dressant une fois de plus sur ses pattes arrière, apostrophe l’étoile.

L’accroc

Morte, à présent. Tu te rappelles cette main, légère déjà, qu’un souffle peut-être aurait pu briser, cette autre, à côté, qui lissait le drap, cette bouche pâle, cette voix fêlée qui tentait encore de dire plus tard,

Et qu’il y avait quelquefois un bourdonnement de mouche au carreau. Dehors, la terre était presque blanche – c’était l’été pourtant ; à n’en pas douter, on s’était trompé de jour et d’ima-ge –, et tu te rappelles

Que des hommes marchèrent longtemps dans la cour et sur le chemin, habits d’ombre et dos voûtés, supportant le même fardeau ; et que tous avaient même visage, même fil de sang aux paupières.

Quand la pièce fut vide, que l’on eut brossé les murs et les meubles, battu les tapis et jeté au feu cela qui sentait trop fort le passé, tu te vis soudain seul et réclamas plus de lumière.

On ouvrit donc en grand les quatre fenêtres, et quelque étranger, qui croyait avoir oublié le commencement, se découvrit des yeux semblables aux tiens quand, en se penchant, il crut qu’une femme attendait toujours,

Qui avait fui le partage. Il ne se désola pas pour autant, comme les amis et les héritiers, parce qu’un rideau s’était déchiré, mais s’accusa d’avoir commis, bien longtemps avant et sans le savoir, le geste qui permit le premier accroc.

Robert Nedelec

Robert Nedelec

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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 14:51

Salon du Livre incontournable, le Livre sur la Place est l'un des salons les plus fréquentés - en terme d'espace, de fréquence et de nombre de visites à l'heure) de France/

Les éditions Aspect y sont présentes depuis 2004 invitées par les organisateurs et promoteurs du Salon, la Ville de Nancy et l'association de Libraires.

Encore une fois un Grand Merci aux responsables de l'organisation du Service grands événements Pôle Culture et Animations, Marie-Madeleine Rigopoulos et Isabelle Ferry, ainsi qu'à leurs adjointes, pour leur gentillesse et leur efficacité.

Nous avons invité deux poètes pour des dédicaces et des rencontres sur notre stand :

- Philippe Vallet, dont nous avons édité deux recueils, Ecrire les yeux bandés et Je couche sur tout l'univers, illustrés par Véronique Bart.

- Robert Nedelec, grand Prix 2014 de poésie de la Société des Gens de Lettres pour son oeuvre, dont nous avons édité le dernier recueil, Plein Champ, sorti pour le Marché de la Poésie de ParisSeront présents aussi sur le stand, outre Alain Gnemmi et André Kleczeck, François Maubré (la Tonnelle et Montagnes de printemps, plaies de briques) et Danièle Marche qui présentera ss deux derniers recueils, Tous tant que nous sommes (éditions Tensing) et L'enfant derrière la vitre.

Rendez vous sur le stand 10 (côté Palaos du gouverneur est)les 12, 13, et 14 septembre 2014, place Carrière à NANCY.

(sur les deux poètes invités, voir pages suivantes)

Le Livre sur la Place : affiche 2014

Le Livre sur la Place : affiche 2014

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